Alerte canicule : shorts, tongs, nuisette… toutes les tenues ne sont pas forcément autorisées au travail, on fait le point
Alerte canicule : shorts, tongs, nuisette… toutes les tenues ne sont pas forcément autorisées au travail, on fait le point
Alerte canicule : shorts, tongs, nuisette… toutes les tenues ne sont pas forcément autorisées au travail, on fait le point
Canicule : peut-on venir au travail en short quand les températures grimpent
Une salariée reconnue travailleur handicapé a été affectée à des tâches non conformes à l’avis du médecin du travail, sans aménagement formalisé de son poste. Saisie d’une demande de résiliation judiciaire, la justice a reconnu une discrimination en raison de l’état de santé, requalifié la rupture en licenciement nul, et condamné l’employeur à verser près de 74 000 € d’indemnités. Maître Eric ROCHEBLAVE, avocat spécialiste en droit du travail, a obtenu cette décision exemplaire devant le Conseil de Prud’hommes de Montpellier.
À compter du 1er juillet 2025, tous les employeurs doivent appliquer de nouvelles règles pour protéger leurs salariés face aux épisodes de chaleur intense. Le décret n°2025 482 renforce la protection des travailleurs contre les risques liés à la chaleur : mise à jour du DUERP, adaptation des horaires, accès à l’eau, équipements spécifiques, information des salariés… Voici tout ce que vous devez savoir pour être en conformité avec le Code du travail.
Tous les avocats en droit du travail ne sont pas spécialistes. Avant de confier votre affaire à un avocat droit du travail, assurez-vous qu’il est bien titulaire du certificat de spécialisation délivré par le Conseil national des barreaux. Ce titre garantit une compétence officiellement reconnue, encadrée et vérifiable. Voici pourquoi et comment le vérifier.
Besoin de réponses juridiques rapides ? Un avocat vous conseille par téléphone, sans délai.
Maître Eric ROCHEBLAVE, avocat en droit du travail, explique dans Les Echos si la colère au bureau peut justifier une sanction disciplinaire. Découvrez vos droits.
La Cour d’appel de Nîmes annule un licenciement discriminatoire, ordonne la réintégration du salarié et condamne financièrement l’employeur. Succès de Maître Eric ROCHEBLAVE.